Samenvatting
Le livre est vendu au prix de 18,50 € au profit de l’œuvre Les chênes de Mambré. Au serviteur qui a enterré son talent, le Seigneur dit : « Serviteur mauvais et paresseux ! » Ce reproche ne pourra jamais être fait au père Francis Dermaux. En 1986, lui et son épouse Jacqueline ils ouvrent leur maison et leur cœur aux plus démunis afin de mettre en pratique la parole du Seigneur : « Aimez votre prochain comme vous-mêmes. » Dans cette maison tout est en commun : les repas, les biens, la prière. Au cours des années, la maison devient trop petite et l’œuvre qui s’appelle désormais « Les chênes de Mambré » déménage dans un ancien couvent à Kain. Elle y abrite une soixantaine de sans-abris. L’œuvre a entretemps été reconnue par la Région Wallonne ce qui a (parfois malheureusement) entrainé quelques modifications dans la vie commune ; l’aspect religieux a entre autres dû disparaître dans le « privé. » En 2015 Francis Dermaux est consacré prêtre dans l’Eglise Orthodoxe. Ce livre vous présente un de ses talents, notamment la prédication, le travail missionnaire. Les sermons du père Francis sont fort appréciés ; comme dans les Evangiles on y retrouve la foi et l’amour du prochain, on y entend parler la personnalité chaleureuse du père Francis. « Nous sommes réunis pour demander à l’Esprit Saint qu’Il nous aide à maintenir en nous un cœur de chair pour que nous devenions plus tendres, plus humains, pour demander à l’Esprit Saint qu’Il nous préserve toujours d’un cœur de pierre. C’est dans les petites actions de tous les jours que notre foi se révèle. Au jugement dernier, nous reconnaîtrons l’importance de ces petites actions : J’avais faim et vous m’avez donné à manger…, Celui qui donnera un verre d’eau fraîche en Mon nom, recevra sa récompense. Le jugement dernier n’a pas lieu à la fin de notre vie, c’est chaque jour, dans nos petites actions quotidiennes et fraternelles que nous révélons ce que nous faisons, ou ce que nous refusons de faire pour notre prochain. C’est chaque jour qui établit notre jugement. » (Extrait du sermon 17)